Chirurgie et médecine esthétiques: superflues ou thérapeutiques?

Ma philosophie et l’expérience m’ont permis de dégager et d’affiner un certain nombre de suppositions à défaut de certitudes. L’Homme est un animal social dont la survie et le bien-être passent par l’appartenance au groupe et sa reconnaissance au sein de ce groupe. Que l’on le veuille ou non, nous vivons dans une société de l’image où la jeunesse et la santé sont idéalisées et où la vieillesse, le handicap et la mort sont rejetés et cachés. L’image réelle ou supposée que l’on renvoie est donc facteur d’intégration et donc de bien-être. En conséquent, en embellissant et en rajeunissant, je suis convaincu de pratiquer une chirurgie et des soins «facilitateurs de bien-être».

La satisfaction des patients nécessite leur écoute, de la méticulosité et une exigence sans faille quant aux résultats. L’intervention sur l’image est naturellement source de stress et l’encadrement de tous ces actes est indispensable. Ce «cocooning » du patient avec une disponibilité de tous les instants est une spécificité du cabinet. Enfin, le bien-être, la beauté et le bien vieillir sont indissociables d’une bonne hygiène de vie alliant alimentation saine et activité physique régulière. Pour nous, ceci est un préalable à toute prise en charge chirurgicale qui se veut efficace.

Par Docteur Van Der Stegen

Docteur Damien Van Der Stegen Qualifié en Chirurgie plastique, esthétique et reconstructrice par le Conseil de l’ordre des médecins Diplôme d’Etude Spécialisé de Chirurgie plastique, esthétique et reconstructrice Diplôme d’Etude Spécialisé de Chirurgie générale Diplôme d’Etude Spécialisé de Chirurgie maxillo-faciale Diplômé de l’AEU de Microchirurgie expérimentale et clinique chirurgien esthétique Lyon et Saint-Etienne

1 commentaire

  1. Concernant la chirurgie esthétique à l’étranger (Tunisie, Turquie…) les couts sont nettement inférieurs puisque le niveau de vie est quatre fois moindre qu’en France. Les chirurgiens ne sont pas mauvais et souvent formés en France. Malheureusement, en chirurgie le risque zéro n’existe pas, où que ce soit et quid de la gestion des complications ou des résultats insuffisants. Nous voyons régulièrement dans notre cabinet des échecs de la chirurgie d’Afrique du Nord ou du Moyen Orient. Le surcout pour le patient est alors significatif. Par ailleurs le recours contre un chirurgien étranger est impossible ou extrêmement difficile. Je compare toujours cette démarche aux assurances. C’est énervant de payer une assurance à fond perdu quand on a pas de problème mais on est bien content d’en avoir une lorsque le « pépin » survient.

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